Depuis le 1er février, le taux d’usure qui est à l’origine d’un certain nombre de refus de prêt est revalorisé tous les mois au lieu de trimestriellement auparavant, sur la base de la moyenne des taux pratiqués lors des 3 mois précédents, et ce, jusqu’au 1er juillet.

Le nouveau calcul du taux est assurément une bonne nouvelle pour permettre au marché de l’immobilier de se fluidifier d’autant que la demande est bien là!

Désormais le taux d’usure, révisé chaque mois, devrait mieux suivre l’augmentation des taux de crédit et coller à la réalité des taux pratiqués.

Pour rappel :

Le taux d’usure est le taux maximum (tout inclus : taux, assurance, garantie, frais…) auquel les nabques peuvent prêter. Ce taux fait office de bouclier protecteur pour les emprunteurs en cas d’abus des banques.